jeudi 20 mai 2010

Départ pour l'Ecosse

Ça y'est, après bien des années de dur labeur, nous avons assez économisé pour partir en vacances. Destination l'Écosse.

Nous partons donc de bon matin, nous partons sur les chemins, en train direction Bern.
C'est clair qu'il faut qu'on se perde à la gare de Bern, non pas que nous ne sachions pas où trouver le bon quai, mais c'est que je suis parti sur le quai et suis monté dans le train alors que Dondon était allé chercher un café. Bref, le train part, et pas de nouvelles de Dondon, là, je regarde l'inutile (le natel en d'autres termes) et je remarque qu'en pleine gare de Bern, dans le train, il n'y a pas de réseau. Merci tele2. Heureusement quelques kilomètres avant Fribourg, nous nous sommes enfin croisés. Mais comme un gentil voyageur bien attentionné, comme ils le sont tous a eu la mauvaise idée de renverser le café. Beh y'avait plus rien. Pfff crétin de touriste.

Arrivés à Genève, nous sommes allés enregistrer les bagages puis nous avons cherché la poste à l'aéroport. Facile, il suffit de suivre les panneaux. Alors le panneau indique de descendre les escaliers, ce que nous avons fait bien évidemment, puis après, plus rien. Nous traversons alors l'aéroport dans un sens puis dans l'autre et trouvons finalement un panneau indiquant la poste, juste devant le logo de la poste.

Aller, après quelques dizaines de minutes à trainasser par-ci ou par là, nous nous approchons enfin de l'avion qui n'a qu'une demi-heure de retard. Bon, compte tenu du vilain nuage cendré islandais, vaut mieux 30 minutes de retard que pas d'avion du tout. Nous embarquons donc avec les autres touristes, qui, pris dans un élan de réflexion énorme se sont rués sur les places avant de l'avion en montant à l'avant de l'avion. En gros, ça bloque tout le monde, jusqu'à ce que le beta-touriste soit assis. Si une compagnie low-cost lit ceci, il y'aurait possibilité de guider les touristes vers l'autre bout de l'avion afin de diminuer le temps d'attente au sol.
Bon, une fois dans l'avion, et assis, de surcroît, on se dit que le voyage commence enfin. C'était sans compter la petite vieille derrière nous qui s'est sentie obligée de raconter sa vie à tous les passagers dans un raxon de 10 rangées autour d'elle.

JE HAIS LES TOURISTES...

Heureusement, mp3 était avec moi et Édimbourg n'était pas trop loin.

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