Cette fois-ci, nous parlons à nouveau d'agent des forces spéciales. Mais là, la comédie l'est tout de suite un peu moins, en tout cas pour les méchants.
Nous savons maintenant qu'il y a des méchants... Normal, me direz-vous, dans tout film, il y a des méchants et des gentils. Dans celui ci, la gentille (mais conne) fille de l'agent spécial à la retraite se fait kidnapper par des méchants à Paris. A partir de ce stade du film, le père, un gentil (ayant quand même quelques techniques de méchant, il va s'en dire) va tout faire pour retrouver sa fille. Au passage, on peut oublier l'option "je laisse les méchants vivants à la justice"... Rien de tout ça. Un bon méchant étant un méchant mort, cette doctrine va être utilisée jusqu'au bout. Bah, c'est pas sans déplaire au spectateur qui trouvera dans ce film un bon mélange d'héroïsme et de baston.
Un film mine de rien très captivant, on veut savoir comment ça se termine.
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